mercredi 20 août 2014

LE LEADER UN INSPIRATEUR D'EXCELLENCE

Bonjour  chers tous,
Aujourd’hui, je voudrais évoquer avec vous une des caractéristiques d’un leader. Elle est fondamentale, elle fait la différence.
  Les leaders sont des agents de changement. Ils ne voient pas le monde comme il est, mais comme il pourrait être. Ils ne focalisent pas uniquement sur comment est leur équipe, mais comment pourrait être leur équipe. Ils ne se limitent pas à la performance d’un collaborateur, mais ils entrevoient et focalisent sur son potentiel. Ils ne souhaitent pas seulement que les choses soient différentes, mais ils font les choses différemment. Ils avancent, ils suscitent la progression, ils produisent la transformation. Ils inspirent l’excellence.
  Jack Welch, l’ancien PDG de General Electric au Etats-Unis est l’un de mes modèles qui reflètent parfaitement cette caractéristique du Leader.  Il est reconnu comme l'un des leaders les plus emblématiques de ces 30 dernières années.  Le leader, en tant qu’agent de changement, ne produit pas la transformation uniquement en entreprise, ou lorsqu’il est dans l’exercice de ses fonctions ; il inspire l’excellence en tout lieu et en tout temps.  Même auprès d’un jardinier J.

Il y a quelques jours, j’ai lu l’histoire de Terry Holland, le jardinier de Jack Welch. Un matin ensoleillé de 1969, le jeune jardinier Terry frappe à la porte de Jack, espérant obtenir un client supplémentaire dans cette belle rue. "Tout d’abord, combien d’argent espères-tu gagner en tondant mon jardin",  lui demanda.
"Je ne prescris pas un coût particulier. Je laisse le client me donner ce qu’il pense être juste" lui répondit le jeune.
Alors Jack se mit à pointer les jardins des maisons alentour.  "Combien as-tu reçu pour la pelouse de ce voisin que tu as tondu". "Trois Dollars" rétorqua le jeune. « Et celle la » continua Jack. "Trois dollars et cinquante cents" dit le jeune. " Ok, je te donnerai quatre dollars pour tailler ma pelouse" avisa Jack. "Mais à une condition. Je voudrais que ma pelouse soit la meilleure de tout le voisinage."

Le jeune Terry accepta la condition. Il avait déjà effectué un bon boulot pour les jardins voisins et pour celui de tous ses clients. Mais celui de Jack était différent.
  Une attente élevée produit une plus grande opportunité. A chaque coup de rasoir, Terry tenait à se rassurer que Mr Welch apprécierait la qualité du travail. Il expérimentait avec extraordinaire minutie une nouvelle manière de tailler, de nettoyer, et d’arroser.

Des années plus tard, Terry revient sur la façon dont cette invitation à produire un excellent travail avait fait toute la différence. "Une lumière s'est allumée et j'ai dit, 'Oh, Voici un monsieur qui ne m'embauche pas juste pour tondre sa pelouse. Il veut que sa pelouse soit la meilleure de toutes les autres pelouses de la rue et il compte sur moi. Cette fois ci, c'était différent. Cela changea mon focus et me permis de savoir que l'excellence est récompensée ".
Terry raconte « A l’intérieur de moi, il y avait comme une compétition. J’éprouve du plaisir à effectuer un travail pour lequel il y a une véritable raison. Un pourquoi fort. Le temps passé à tondre le gazon de Mr Welch pour moi s’écoula beaucoup plus vite que tous les autres. Il m’avait donné l’opportunité de me prouver quelque chose. Il ne s’agissait plus de la même corvée habituelle. Ce n’était plus ce travail qui me paraissait très souvent stupide. Mais c’était devenu un défi passionnant. »

Le défi de Welch non seulement lui permit d’obtenir le plus beau jardin du voisinage, mais il inspira à la grandeur le jeune adolescent. Il aida le jeune jardinier à transcender le statu quo, la médiocrité ou le bon travail et le propulsa à rechercher l’excellence. Voilà la beauté du Leadership.

Vous, dites moi, comment pourrez-vous aider les personnes qui vous entourent à être meilleures? Comment pourrez vous les emmener à produire au delà de ce qu'ils croient être capable? Comment pourrez vous les stimuler et les conduire à l'excellence?

Mon objectif à travers ce mail, et les prochains, à travers nos formations, est de vous inspirer à aller au delà de la moyenne ou de l’acceptable, à prendre conscience de l’immense potentiel dont vous disposez et à pleinement le réaliser en étant cet agent de changement.
  
Vous êtes des leader, vous êtes des agent de changement. Impactez votre environnement. Défiez le statu quo, réalisez l’excellence et surtout, inspirez votre équipe, vos collaborateurs, votre entourage à la grandeur car souvenez vous: 
"Tout ce que l'esprit humain peut concevoir, l'esprit humain peut l'accomplir."

CITATION DU JOUR

"Le plus grand Leader n’est pas nécessairement celui qui accomplit de grandes actions. Il est celui qui conduit les autres à accomplir de grandes actions."
Ronald Reagan

samedi 16 août 2014

Les comportements du Leader


Si tu veux être un leader qui attire des personnes de qualité autour de toi, la clé est de devenir toi-même une personne de qualité. Le leadership est la capacité d’inspirer au travers, de tes compétences, tes talents, et des opportunités que tu offres en tant qu’entrepreneur, gestionnaire, homme de foi ou encore en tant que parent à ceux qui t'entourent. Ce qui est important dans le leadership c’est de continuellement affiner tes aptitudes. Tous les grands leaders travaillent continuellement sur eux-mêmes jusqu'à ce qu'ils deviennent efficaces.
 
Voici quelques spécificités:

Apprends à être ferme mais pas rude . C’est une étape supplémentaire que tu dois prendre pour devenir un leader d'influence et compétent. Certaines personnes confondent rudesse et fermeté.

Apprends à être aimable et bon, mais pas faible . Richard, tu ne dois pas confondre la faiblesse et la bonté. La gentillesse n'est pas une faiblesse. La gentillesse est définitivement une force. Tu dois avoir l'amabilité de dire la vérité à quelqu'un. Etre assez aimable pour dire les choses telle qu’elles sont, mais avec pour motivation première d’ajouter de la valeur. Ainsi tu sauras choisir le meilleur moment pour dire la bonne chose. C'est la Loi du Moment choisi ou la loi du Timing.

Apprends à être audacieux, mais pas tyrannique . Il faut de l'audace pour gagner la journée. Pour construire ton influence, tu dois prendre de l’initiative. Tu dois être prêt à prendre la première flèche, t’attaquer le premier au problème. Comme le fermier, si tu veux les récompenses au moment de la récolte, tu dois être audacieux et faire face aux mauvaises herbes, à la pluie et aux insectes.
 
 
Apprends à être humble, mais pas timide . Richard, il te sera difficile de laisser un impact autour de toi et d’être une personne d’influence en étant timide. Certaines personnes confondent la timidité et l'humilité. L'humilité est une vertu, la timidité est une maladie. C'est un handicap qui heureusement peut être guéri.
Ce qui fait la différence entre les leaders de Niveau 5 (excellents leaders) et les autres n’est pas le charisme, mais un mélange paradoxal de volonté inébranlable et d’humilité personnelle.
 
Apprends à être fier, mais pas arrogant. Il faut de la fierté pour construire tes ambitions. Il faut de la fierté pour bâtir et élever ta communauté. Il faut de la fierté pour bâtir une nation. La clé pour devenir un excellent leader c’est d'être fier sans être arrogant .


En apprenant ces choses et en les vivant, tu amélioreras ton leadership…
 

jeudi 7 août 2014

L'ENTREPRENARIAT, PAS DU GATEAU

Démarrer son business, c’est s’engager dans une aventure comme nulle autre pareille. Lancez-vous ! Vous ne le regretterez pas si votre motivation et votre conviction sont réelles et surtout fondées. Il y a des gens qui répètent à tout bout de champs " ON PEUT RÉUSSIR A PARTIR DE RIEN". Soit, mais il faut plutôt donner conseils que faire des malheureux en criant se genre de propos flatteur. Car s'il est vrai qu'entreprendre est passionnant et enrichissant, une autre reconnaissance de vérité, c'est que cela comporte au départ, plus de difficultés pour le jeune entrepreneur. Cet article, au delà de décourager a plutôt pour but de préconiser au future entrepreneur, vigilance, lucidité dans les décisions, savoir définir ses priorités, etc....
Partageons ici mon expérience personnelle.
J’ai eu l’idée de "SANKOFA BUSINESS CORPORATION LIMITED" en début d'année 2013. Responsable des département achats et stocks pour une entreprise alors, je découvrais un autre secteur qui véritablement va booster cette envie de créer. 
J’en avais assez de consacrer 90% de mon temps sédentarisé dans un bureau à accroître la richesse d' autrui.
Le temps de réflexion
Après le temps de la réflexion, j’ai décidé de me lancer en me fixant un objectif, celui de faire des économies conséquentes pour concrétiser mon rêve dans le premier trimestre de l'année 2014. Ce qui a été fait. Désormais il me fallait  me concentrer uniquement sur ce projet de start-up.
Malgré les nombreuses voix me répétant des propos peu encourageant, je reste persuadé d’avoir pris la bonne décision !
En effet, la charge de travail nécessaire pour faire émerger une start-up demande une implication à temps complet. 
Attention à ne pas avoir la grosse tête.
Il est important de resté sur terre car après avoir obtenue tous les documents de l'entreprise, (registre de commerce, compte contribuable/DFE, compte bancaire), on se gonfle un peu les épaules, on ne manque pas d'occasion pour en parler, et on a le sentiment d'être arrivé. "FAUX,  VOUS N'ETES QU'AU STRICTE DÉBUT".

Fort heureusement, j'étais avertis donc cela n'a pas été mon cas. Cependant, la suite des événements va être très déterminant dans la survie de la start-up.


Les erreurs à éviter

Ces impairs que je mentionne ici et qui sont les plus fréquemment commis par les entrepreneurs, ne m'ont pas épargné. soyez attentifs, et prenez note pour ne pas tomber dans les mêmes erreurs, lors du lancement d’une start-up :
Se ruer sur les médias
Avant de rechercher une publicité d'envergure avant même son installation à proprement dite, il convient de se poser les bonnes questions : êtes-vous prêt à apparaître dans la presse ? A quoi vous servira d’obtenir un article ? Pesez le pour et le contre : dans certains cas, la presse peut permettre d’attirer les investisseurs ; en revanche, en cas d’échec, être connu dans les médias peut vite devenir un handicap pour l’entrepreneur.

Lever des fonds trop tôt
Dans un premier temps, la meilleure démarche reste encore de se concentrer sur le business model, et de s’assurer de bons résultats. Si votre start-up se suffit à elle-même, vous pouvez alors assurer  une prise de risque minime, et commencer à mener certaines actions, sinon, on se casse la figure.

Se lancer seul dans l’aventure
Fonder une start-up seul est un pari très risqué : les compétences requises sont trop variées, et la charge de travail trop importante pour être assumées par une seule personne. En vous entourant de co-fondateurs et/ou de conseillers, vous gagnerez en productivité.
A l’inverse, un nombre trop important de co-fondateurs peut être nuisible : si vous montez une start-up avec 3 amis, vous détiendrez seulement 25% de la société ; en outre, plus il y a de dirigeants, plus il est difficile de mener la barque, et des conflits d’autorité risquent de s’installer.

S’acharner sur une idée qui ne marche pas
L’image-type de l’entrepreneur passionné qui quitte son poste du jour au lendemain pour se consacrer à son idée cache une prise de risque inconsidérée : quitter un emploi sans avoir préalablement testé votre concept et vous être assuré de ses chances de réussite est une grossière erreur. Mais même à ce stade, rien ne peut garantir que votre produit ou votre service sera apprécié des clients. Dans le cas où les choses tourneraient mal, mieux vaut s’arrêter tout de suite et s’investir dans un projet plus sûr.
Pour corriger cet aspect des choses, la start-up S B C Ltd intervient dans divers domaines d'activité.

Cacher ses difficultés
Il est facile pour une start-up de mentir à des journalistes ou à des investisseurs peu vigilants. Cela arrive notamment lorsqu’un entrepreneur a désespérément besoin de fonds, et grossit les chiffres de sa croissance pour attirer l’attention des investisseurs. Un comportement risqué : un jour où l’autre, la vérité refera surface, et l’entrepreneur perdra toute crédibilité. 

Courir après la croissance
L’obsession de la croissance n’a pas de sens, et ne doit pas reléguer le produit au rang de préoccupation secondaire. Chaque start-up a ses spécificités et croît à un rythme différent des autres. L’attitude intelligence consiste à poser des objectifs de croissance fondés sur le parcours d’entreprises similaires à la vôtre.

Sous-estimer les difficultés de l’entrepreneuriat
Evidemment, la majorité des start-up dont on entend parler dans les médias sont des success stories. Pourtant, le succès n’est pas systématiquement au rendez-vous, et certains entrepreneurs doivent passer par la case échec. Même en dehors de cette éventualité, fonder une start-up n’est pas toujours une partie de plaisir : obsession, surcharge de travail, isolement et autres difficultés sont le lot de l’entrepreneur.

Ne pas être assez d’ambition
Les meilleures startups sont celles qui emploient à la fois des pragmatiques et des rêveurs. Pour aboutir à de grandes réalisations, il faut d’abord avoir de grandes idées. Voir trop petit, c’est limiter dès le départ sa capacité d’action.

mercredi 30 juillet 2014

Business Intelligent

Le Business Intelligent  peut être définie comme l’ensemble des actions coordonnées de recherche, de traitement et de distribution, en vue de son exploitation, du flux informationnel utile, pour une productivité continue et ininterrompue.  L’information utile est celle dont ont besoin les différents niveaux de décision de l’entreprise, pour élaborer et mettre en œuvre de façon cohérente la stratégie et les tactiques nécessaires à l’atteinte des objectifs définis par l’entreprise dans le but d’améliorer sa position dans son environnement concurrentiel. 
Le principe du Business intelligent est de se démarquer de la vision de l'entreprise figée avec un seul domaine d'activité. Il s'agit de se donner une large marge de manœuvre sur le marché économique en ayant plusieurs domaines d'activité. Ensuite, être à l’affût comme un véritable chasseur d'opportunités pour réagir promptement et juste à temps. L'entreprise se préserve ainsi des cessations d'activité dues à la saisonnalité qui influence la plupart des domaines et/ou secteurs d'activité. 

lundi 21 juillet 2014

Posséder la culture d'entreprendre

Pourquoi entreprendre en réseau ? Des nouvelles méthodes entrepreneuriales ne sont-elles envisageables? Porteuses des sociétés et emplois de demain ? Quelles différences fondamentales entre l’entreprise traditionnelle et la start-up, la net-up ? Comment maximiser son projet en optant pour ces nouveaux usages ? Les dispositifs d’aide à la création d’entreprise permettent-ils d’encadrer ces nouvelles pratiques ? 
Coworking, intelligence collective, communauté de pratiques, co-création, etc : pour plus d'autonomie, pour une meilleure qualité de vie ou pour créer leur entreprise, certains éminents patrons (Américains, Suisses, Japonais) n'ont pas choisi la vie de bureau.
Ce Blog a justement pour objet de créer des cadres permanents d'échanges convergeant dans le sens de la mise en œuvre et de partage de projets, mais aussi et surtout d'aide à l'orientation vers la création de richesses. Ainsi, nous invitons à développer des thèmes, des ateliers, et poster des conférences en vue d'instruire et/ou de mettre à niveau tous les membres de ce blog. Notre soucis majeur, d’inciter, d'éveiller nos membres à une remise en cause des anciennes visions de entrepreneuriat, voir de l'entreprise.
 KAKOU AKA RICHARD 
CONSULTANT INDÉPENDANT
LOGISTICIEN,
SUPPLY CHAIN MANAGER 


L'ENTREPRENARIAT ET LA QUALITÉ D'UN BON ENTREPRENEUR

L’Entrepreneuriat ou entreprenariat est l’action de créer de la richesse et/ou de l'emploi par la création ou la reprise d'une entreprise. Un entrepreneur c’est donc, une personne qui s’engage dans un effort visant à transformer ces idées et innovations en biens économiques.  Cela peut aboutir à de nouvelles organisations ou peut-être à la revitalisation de certains secteurs des organisations en réponse à une opportunité perçue.
Une définition plus large par l'économiste français JB Say (1800) "L'entrepreneur déplace les ressources économiques de niveaux inférieurs, pour une productivité et un rendement plus élevé."

Types D'entreprenariat
          La forme la plus rependue de l'entreprenariat est celle du démarrage d’une nouvelle entreprise, mais, ces dernières années, le terme a été étendu pour inclure des formes sociales et politiques de l'activité entrepreneuriale. C’est ainsi qu’on peut distinguer 3 types d’entrepreneurs qui se différencient par leurs motivations :
  • Entrepreneur social : Un entrepreneur social est motivé par le désir d'aider, d'améliorer et de transformer la société, l’environnement, le système éducatif et les conditions économiques.
  • Serial Entrepreneur : Un serial entrepreneur est celui qui a en permanence de nouvelles idées et crée de nouvelles entreprises. Il est plus susceptible de prendre des risques et de surmonter les cas de faillite d'entreprise.
  • LifeStyle Entrepreneur : Ces entrepreneurs placent la passion avant le profit lors du lancement d'une entreprise. Leur motivation est la combinaison des intérêts personnels et du talent avec la capacité de gagner sa vie.
        Etre un entrepreneur n’est pas une chose facile, en effet il faut une grande motivation et une complète détermination, car cela demande un acharnement au travail, beaucoup de sacrifices, de dévouement et de persévérance. C’est un métier où le risque de faillite est très présent, d’ailleurs la plus grande majorité d’entrepreneurs échouent dans leurs premiers projets. En dehors des qualités en matière de Gestion d’entreprise, un bon entrepreneur doit être un bon leader. Il doit pouvoir communiquer sa vision de l’entreprise, persuader  les membres de son équipe et booster leurs performances afin de garantir une productivité optimale pour l’aboutissement des objectifs de l’entreprise.

Qualités D’un Bon Entrepreneur
       C’est clair que tout le monde peut devenir entrepreneur, mais seul les bons entrepreneurs connaissent du succès et arrivent à obtenir le fruit de leur investissement. Il existe certaines qualités distinctives qui sont requises pour être un entrepreneur à succès. Un certain nombre de ces qualités sont probablement déjà intégré à votre personnalité, tandis que d'autres peuvent avoir besoin d'être travaillé et développé. Voici une liste de certains de ces qualités :
  •  Passion : Il va presque sans dire que, pour devenir un entrepreneur prospère, vous devez être passionné par votre entreprise. Cela ne signifie pas nécessairement que vous avez à construire une entreprise autour de quelque chose que vous aimez. Vous pouvez (et devriez) identifier un marché rentable et développer vos affaires. Le fait d’aimer votre entreprise vous permettra également de persévérer dans vos efforts à la phase de démarrage (assez pénible), et d'autres obstacles à venir.
  • Leadership : Bien que la définition d'un leader ne soit pas facile, on reconnait un lorsqu’on le voit à l’œuvre. Fondamentalement, c'est la capacité à être en charge des personnes et de les guider afin d'atteindre les objectifs fixés. Un leader doit être capable de planifier, de motiver, coacher, et d'évaluer le personnel. Un leader doit également avoir à la fois des compétences managériales et interpersonnelles.
  • Capacités relationnelles : La gestion d’entreprise repose sur la gestion des personnes, vous aurez par conséquent besoin d'être bon dans la communication si vous voulez réussir. Que ce soit avec vos clients, fournisseurs ou employés, il est important que vous appreniez à communiquer de façon efficace l’intégralité de votre message afin de s’assurer que votre entreprise est gérée aussi bien que possible. 
  • Organisation et gestion du temps : La gestion du temps vous permettra de vous organiser et de vous assurer que vous effectuez tous vos travaux de la manière la plus efficace possible. Il est très facile de céder à la procrastination quand on travaille seul, il vous faudra donc trouver des façons de régler ce problème. Peut être vous pouvez créer une liste de tâches ou utiliser des logiciels de gestion de temps pour vous aider à gérer votre charge de travail et à augmenter votre productivité. 
  • Prise de risques : Un bon entrepreneur doit être prêt à prendre des risques calculés si il ou elle veut réussir. Parfois, en affaires, vous aurez besoin de faire confiance à votre intuition et de marcher sur l'eau, lorsque vous n’avez pas assez d’informations ni de temps pour prendre une décision rationnelle. Cependant, vous aurez besoin de faire la distinction entre la folie et le risque calculé. Assurez-vous que vous faites vos recherches et de veiller à ce que votre business plan soit faisable avant de commencer le projet. Cela peut vous empêcher d'avoir une surprise désagréable à l'avenir.
  • Compétitivité : La concurrence est partout. En affaires, c'est la loi de survie. Si vous pouvez marquer votre présence dans le marché, vous démarquer de vos compétiteurs et surpasser vos concurrents en fournissant un produit avec un meilleur rapport qualité prix, vos chances d'être un entrepreneur à succès seront beaucoup plus grandes. Jouez pour gagner, mais ne jamais sacrifier votre intégrité pour le bien de quelques billets. 
  • Confiance en soi : Confiance en soi est une compétence clé pour le succès entrepreneurial. Il est facile de se démoraliser, d’être frustré si vous n'avez pas la confiance en soi. La confiance en soi concerne l’appréciation qu’a une personne sur ses capacités et son rendement. Un entrepreneur à succès croit en ses capacités. Il n’a pas peur d'explorer des opportunités ou des domaines nouveaux, de prendre des risques et de prendre des décisions difficiles en un temps record.
        En définitive, il n'y a pas de substitut pour le travail dur quand il s'agit de devenir un entrepreneur prospère. La plupart des gens choisissent la solution la plus simple et rapide quand il s'agit de travailler. Si vous voulez avoir du succès, il faut vous consacrer à la persistance, le travail productif, le leadership et la gestion rationnelle de votre temps.


L'EVOLUTION DU DOMAINE MARKETING ET LA DISTRIBUTION DANS LA BUSINESS INTELLIGENCE
Jusqu’où peut aller la personnalisation de la relation client ? Cette question occupe l’esprit de nombreux décideurs. Et pour cause : elle résulte d’une évolution rapide des comportements d’achats des internautes et de l’appropriation, tout aussi rapide, des réseaux sociaux par les consommateurs. Les acteurs de la business intelligence doivent s’adapter à cette nouvelle approche client – plus réactive et plus segmentée – et mettre en place rapidement une organisation nouvelle dotée de canaux inédits.
  • La belle maturité du commerce en ligne

Après des débuts timorés, le commerce en ligne a aujourd’hui acquis une belle maturité. Les efforts des entreprises en termes de création de sites ergonomiques et sécurisés, d’offres de produits diversifiés et de prix pratiqués ont contribué à rassurer l’internaute. Confiants et aguerris, les consommateurs n’hésitent plus à acheter en ligne pour réaliser de bonnes affaires. Le e-marché est réactif et prometteur, à tel point que les entreprises du e-commerce viennent désormais taquiner les enseignes traditionnelles qui n’ont d’autres choix que de se positionner à leur tour sur la Toile.
  • Un afflux de données personnelles à gérer

À cette maturité des usages s’ajoutent une croissance exponentielle des données à traiter par l’entreprise : compte client, adresses mail, profils de réseaux sociaux ou même résultats de sondages en ligne fournissent de précieuses informations aux services marketing. L’enjeu est aujourd’hui de parvenir à traiter ces données complexes pour les exploiter et les traduire en termes d’opération commerciale ou de fidélisation client.
La tendance est d’ailleurs à la segmentation de plus en plus fine de la clientèle : les comportements d’achats sont connus de plus en plus précisément, laissant entrevoir la possibilité ultime d’une relation clientèle ‘one to one’. Mais cela est-il réellement possible ? Et pertinent ?
  • Comment exploiter les données réunies par l’entreprise ?

L’entreprise de business intelligence peine à absorber ces nouvelles informations numériques dans son architecture classique : cette dernière s’est plutôt développée sur un traitement distinct des métiers de l’entreprise. Les systèmes d’information doivent donc améliorer leur approche collaborative pour mutualiser les ressources et gagner en réactivité.
  • Dépasser l’organisation classique de la distribution

Les services marketing ont pour la plupart intégré cette évolution et comptent sur les data analystes – des acteurs recensés comme l’emploi marketing clé de l’avenir du commerce digital – pour orchestrer la mise en œuvre du fameux Big Data.
En attendant, l’accent est mis sur la refonte de la distribution qui doit être, à son tour, de plus en plus personnalisée : mais cette réforme s’avère bien plus délicate, car elle relève de métiers très structurés (livraison, stockage, mise à disposition en magasin, etc.). De plus, si les circuits courts semblent répondre aux nouvelles attentes des consommateurs, ils sont difficilement compatibles avec le commerce en ligne qui, par définition, ouvre les horizons des possibles et dépassent les zones de chalandise classiques…
  • L’essor prochain du ‘plombier du digital’ ?

Sur son blog, Christophe BLAZQUEZ, spécialiste de l’identité numérique, relaie une analyse intéressante de Louis Treussard, directeur général de l’Atelier BNP Paribas : selon ce dernier, après la digitalisation des entreprises pour offrir des services à distance, l’étape suivante sera celle de la mise à disposition des produits chez les clients. Les marques « devront être en mesure d’apporter un service à valeur ajoutée en branchant le produit, l’installant et le rendant compatible avec l’écosystème des objets déjà connectés chez les clients. (…) Ces services pourront être fournis par des « plombiers du digital » qui seront les petites mains du numérique de demain. »
L’enjeu de la distribution se trouve certainement à ce carrefour : les circuits de distribution semblent être amenés à opérer un grand écart entre un achat en ligne hyper digitalisé et une installation/livraison au domicile même du consommateur. Loin, bien loin des canaux habituels… Répondre aux nouvelles attentes de l’e-clientèle se fera à ce prix : reste à la Business Intelligence de réussir à préparer l’entreprise dans les temps.